Mardi 27 octobre

Publié le par Isabelle DELABARRE ou " Isa "

Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Aujourd'hui pas de course. Repos, enfin...Après un levé encore très matinal, petit déjeuner à 6h20 après avoir déposé nos valises. Dernière montée des 268 marches de l'hôtel pour renjoindre les minibus, et en route pour l'aéroport de Pokhara, direction Kathmandu. Oui mais voilà ce matin le brouillard n'a permis encore aucun décollage. Après une bonne heure de retard, nous montons dans un petit bimoteur, et c'est parti. Le ciel qui s'est dégagé nous offre un spectacle splendide, les hauts sommets enneigés qui émergent des nuages.
Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Mardi 27 octobre
Direction le stùpa de Bodnath un des plus grands dans le monde. En chemin nous passons devant un grand campement qui héberge toujours de nombreuses personnes toujours sans abris depuis les tremblements de terre d'il y a 6 mois maintenant. Les conditions de vie y sont très dures, avec de gros problèmes d'hygiène et d'approvisionnement en eau potable.
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath
Bodnath

Bodnath

La partie supérieure du stùpa est toujours détruit depuis avril dernier, même si sa reconstruction a débutée, le travail restant reste colossal. La visite commence en le contournant par la gauche, comme le veut la croyance bouddhiste. Le stùpa est cerné de temples ornés de somptueuses statues, peintures et tentures. Ngawang, notre sherpa francophone, tente de nous expliquer les grandes lignes de la religion, ainsi que certaines significations de statues et peintures. Ensuite nous avons 1h pour flaner de boutiques en boutiques, avant d'aller déjeuner dans un restaurant avec terrasse panoramique, nous permettant d'avoir une vue d'ensemble de ce quartier de kathmandu.
Pashu Patinath
Pashu Patinath
Pashu Patinath
Pashu Patinath
Pashu Patinath

Pashu Patinath

C'est accompagnée de 3 autres gazelles que nous prenons un taxi, pour nous rendre sur le site de Pashu Patinath. C'est un lieu important pour la religion hindouiste, où sont pratiquées les crématiions. Cellles-ci ont lieu à ciel ouvert en bord de rivière, afin que les cendres puissent être poussées dans l'eau de la rivière. Je me sent un peu mal à l'aise, touriste au milieu des familles de défuns en court de crémation. Première rencontre avec les macaques qui s'approchent à 30 cm à peine. Notre guide nous conseille de ne pas les regarder dans les yeux, ce que je fais, vu la taille impressionante de leurs canines, mais à peine nous ont ils dépassés, qu'un touriste non averti se fait attaqué. Heureusement accompagné dun guide local qui a mis en fuite l'animal.
Rencontre avec les sādhus
Rencontre avec les sādhus
Rencontre avec les sādhus
Rencontre avec les sādhus

Rencontre avec les sādhus

un peu plus haut nous rencontrons des Sādus. Ce sont des hommmes qui ont décidé de se consacrer entièrement à leur religion hindouiste, et qui ont par conséquent coupé les liens familiaux. Ils ne possèddent rien et vivent juste de dons, car ils ne demandent rien. Le site est joli. Notre guide nous entraîne dans un asile pour vieillards qui se retrouvent seuls et démunis, souvent de la caste des intouchables, les plus pauvres. Ce lieu a été créé par soeur Theresa, et survi grâce aux dons. La misère et le dénuement total de ces anciens est dure a suporter. Je décide de ne faire aucune photo. J'estime que même pauvres ils ont le droit à la dignité. Après un petit don au responsable du lieu, nous écourtons notre visite. Au moment de prendre congé de notre guide, cela se complique. Évidemment nous le rémunérons, mais il s'énerve, prétextant que ce n'est pas suffisant. Il nous réclame l'équivalent de 25€ chacune (pour 1h), sachant qu'un salaire mensuel moyen est de 150/200€. Il argumente qu'il n'y a plus de touristes depuis les tremblements de terre, et qu'il ne peut plus payer ses études... Nous ne cèderons pas sachant que nous ne nous moquions pas de lui avec un quart de sa demande. C'est donc faché qu'il nous quittera. C'est la seule fois de mon séjour où j'ai rencontré ce gente de pesonnage,très insistant, limite agressif. Bon, plus qu'à attraper un taxi, négocier le prix, sachant qu'il y a toujours des problèmes d'appprovisionnement d'essence, et qu'elle se négocie très chère au marché noir. Retour à l'hôtel avec encore plein de nouvelles choses dans la tête. Ce soir ce sera restaurant Boutanais, pour la découverte culinaire d'une autre région du Népal.

Publié dans La course

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K
Merci de nous faire partager ces instants privilégiés
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I
C'est juste du bonheur de partager et de me remémorer cette aventure.
G
Super toutes ses belles photos ,et commentaires que des beaux souvenirs .
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I
Merci! Merci
L
super Isa que de beaux souvenirs
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I
Et oui, le problème c'est que j'ai déjà envie de repartir :-)
I
Mes récits sont presque terminés, savourez avant de voire le film ;-)
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M
toujours aussi intéressant, bravo et merci!
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